AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de umezzu


Quand vous envisagez d'arrêter un livre au bout de quelques dizaines de pages, cela part mal. Quand un auteur finit son livre avec autant de non-sens, vous vous dites que vous auriez du suivre votre intuition : prendre ce bouquin et le jeter par la fenêtre.

Manook commence son roman en multipliant les galipettes de son héros, Kornelius Jakobson, géant islandais, flic de son état, embarqué dans des histoires d'amour d'une nuit et de jalousie compulsive. Ah oui, j'oubliais, il y a aussi deux scènes de crimes où les cadavres ont disparu et un sniper déchaîné qui canarde les véhicules des touristes sur quelques hauts-lieux de la nature islandaise.
Là dessus, Ian Manook finasse dans le genre, c'est pas ce que vous pensiez, c'est pire… Jakobson se met à dos tout le monde, tout en retrouvant sa fille partie depuis cinq ans suivre son ex-femme en Nouvelle-Zélande. Elle revient avec un petit poupon de quatre ans. Vlà le gros nounours de flic grand-père. Comme tout cela passe vite dans ce roman qui se traîne…

Évidemment, Patrick Manoukian, dit Ian Manook, essaye de refaire le coup de Yeruldelgger. Mais ce qui passait chez un flic mongol, bien accompagné de lait fermenté, est complètement hors jeu dans ce petit pays, bien calme, d'à peine plus de 300 000 habitants.
Comment dit-on pire que mauvais en islandais ?
Manookssson ?
Commenter  J’apprécie          482



Ont apprécié cette critique (39)voir plus




{* *}