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Critique de Davalian


Le pas de nos pères apporte le dénouement de cette trilogie qui fait suite au célèbre le soleil sous la soie.

Comme il s'agit d'un volume de clôture, la lecture préalable des volumes précédents (a minima ceux composant la série le soleil suivant) est sinon indispensable, du moins très fortement recommandée. Cette fois-ci Éric Marchal nous offre un petit résumé, fort utile. La lecture pourra donc être faite plusieurs mois après la fin du volume précédent.

Cette fois-ci l'intrigue va se dérouler essentiellement dans le duché de Lorraine, entre Lunéville et Nancy occupée, mais également à Paris et à Versailles. le programme paraît a priori moins alléchant que les villes traversées par le passé mais c'est sans compter avec le talent de Éric Marchal.

Nous allons à nouveau partir à la recherche du Codex, bien qu'ici il s'agisse davantage d'un prétexte à de multiples petites aventures secondaires qui nous amènent à découvrir la vie de tous les jours, les intrigues de cour, le fonctionnement des services de police… tout cela n'est qu'une petite partie de tout ce qui va attendre le lecteur. Bien entendu nous allons rencontrer autant de nouveaux personnages secondaires, sans oublier certains qui ont été croisés par le passé.

Les relations entre les personnages seront ici plus apaisées que dans le volume précédent et d'ailleurs l'équipe sera rejointe par un nouveau venu qui va devenir aussi indispensable aux deux personnages principaux qu'au lecteur. C'est probablement lui la plus belle surprise de l'ensemble. Annonce-t-il des romans qui lui seraient consacrés ? L'idée serait des plus intéressantes…

Le pas de nos pères est indéniablement une conclusion peut-être un peu légère de la quête initiale mais un roman historique de grande qualité. Assurément ce nouveau volume confirme que l'aventure valait la peine d'être suivie. Un très bon cru !
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