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Critique de LoupAlunettes
Thomas, Killian et Jules n'auraient jamais imaginé l'école de cette manière.
Un autre temps, d'autres copains de récré, des pupitres, des leçons à la baguette et des culottes-courtes.
Les escapades des jeunes internes peu sages dans l'appartement de la vieille voisine au dessus de l'école, pour échapper aux tristes épreuves de la classe verte, peuvent tourner à la grande aventure parfois.
Se contentant de signer simplement le vieux bas de page trouvé sur les lieux, comme cela était indiqué et à l'aide d'une encre aux propriétés plus qu'extraordinaires, le trio d'écoliers va malgré lui remonter le temps.
« Pour échapper aux ennuis du présent
Pour libérer de sa cage une enfant
Pour retrouver les merveilles d'antan
Prenez la plume et signez hardiment... »
Thomas le noir, Killian le rebelle et Jules le timide font la connaissance de Jean-Claude le farceur, du bon François et de Michel le rondouillard.
L'école en blouse grise ne remporte pas un fort succès auprès de nos trois jeunes égarés du temps et il semblerait qu'une mission les attendait au travers du contrat signé, une aventure qui leur permettrait de revenir à leur époque.
Michel dit avoir croiser par hasard une jeune fille dans les escaliers de l'immeuble, elle vit dans l'ancien logement de la vieille voisine et il lui est interdit de sortir.
L'ensemble du groupe se lance dans une nouvelle escapade secrète afin de sauver Isabelle et pour Toto, Kiki et Juju comme les surnomme sympathiquement Jean-Claude, accomplir l'intégralité de la mission de l'encrier maudit.
Mais gare! le directeur Salillot, surnommé "Saligaud"par les pensionnaires de Champfleury, veille!
: : « L'encrier maudit » de Pascale Maret est une bonne surprise en matière de lecture pour la jeunesse et c'est un vrai plaisir de suivre l'aventure de ses trois collégiens que rien ne réunissaient complètement auparavant. Killian a le vrai profil de ses élèves qui use de leur force physique pour tyranniser ses camarades plus faibles. Heureusement, l'histoire nous montre aussi qu'il ya des raisons qui expliquent également ce type de comportement peu sociable.
La situation fait que la solidarité restera le meilleur moyen de s'en sortir et delà, fleurira une nouvelle belle amitié. Comme quoi, dans la différence et l'ouverture, tout est possible.
Nous sommes donc propulser en 1961 et le trio découvre une école aux règles bien différentes, peut-être plus rigoureuse dans la discipline. C'est une école exclusivement de garçons, en uniforme, des chaussettes qui dégringolent aux chevilles, les slips au dessus du nombril, des leçons à la plume et encrier. Bref, c'est le choc des cultures pour nos héros qui devront compter sur l'amitié et le soutien de leurs nouveaux amis pour s'adapter.
C'est un autre temps, avec des idées plus arrêtées sur l'éducation, l'histoire de la France de 1961 permettait un racisme ordinaire qui en étonneront plus d'un mais c'est un état d'esprit qui évidement ne se généralisait pas pour autant à tous les individus.
L'intrigue se tient, nous tient, est accessible, le récit agréable.
Une lecture à recommander.
Un autre temps, d'autres copains de récré, des pupitres, des leçons à la baguette et des culottes-courtes.
Les escapades des jeunes internes peu sages dans l'appartement de la vieille voisine au dessus de l'école, pour échapper aux tristes épreuves de la classe verte, peuvent tourner à la grande aventure parfois.
Se contentant de signer simplement le vieux bas de page trouvé sur les lieux, comme cela était indiqué et à l'aide d'une encre aux propriétés plus qu'extraordinaires, le trio d'écoliers va malgré lui remonter le temps.
« Pour échapper aux ennuis du présent
Pour libérer de sa cage une enfant
Pour retrouver les merveilles d'antan
Prenez la plume et signez hardiment... »
Thomas le noir, Killian le rebelle et Jules le timide font la connaissance de Jean-Claude le farceur, du bon François et de Michel le rondouillard.
L'école en blouse grise ne remporte pas un fort succès auprès de nos trois jeunes égarés du temps et il semblerait qu'une mission les attendait au travers du contrat signé, une aventure qui leur permettrait de revenir à leur époque.
Michel dit avoir croiser par hasard une jeune fille dans les escaliers de l'immeuble, elle vit dans l'ancien logement de la vieille voisine et il lui est interdit de sortir.
L'ensemble du groupe se lance dans une nouvelle escapade secrète afin de sauver Isabelle et pour Toto, Kiki et Juju comme les surnomme sympathiquement Jean-Claude, accomplir l'intégralité de la mission de l'encrier maudit.
Mais gare! le directeur Salillot, surnommé "Saligaud"par les pensionnaires de Champfleury, veille!
: : « L'encrier maudit » de Pascale Maret est une bonne surprise en matière de lecture pour la jeunesse et c'est un vrai plaisir de suivre l'aventure de ses trois collégiens que rien ne réunissaient complètement auparavant. Killian a le vrai profil de ses élèves qui use de leur force physique pour tyranniser ses camarades plus faibles. Heureusement, l'histoire nous montre aussi qu'il ya des raisons qui expliquent également ce type de comportement peu sociable.
La situation fait que la solidarité restera le meilleur moyen de s'en sortir et delà, fleurira une nouvelle belle amitié. Comme quoi, dans la différence et l'ouverture, tout est possible.
Nous sommes donc propulser en 1961 et le trio découvre une école aux règles bien différentes, peut-être plus rigoureuse dans la discipline. C'est une école exclusivement de garçons, en uniforme, des chaussettes qui dégringolent aux chevilles, les slips au dessus du nombril, des leçons à la plume et encrier. Bref, c'est le choc des cultures pour nos héros qui devront compter sur l'amitié et le soutien de leurs nouveaux amis pour s'adapter.
C'est un autre temps, avec des idées plus arrêtées sur l'éducation, l'histoire de la France de 1961 permettait un racisme ordinaire qui en étonneront plus d'un mais c'est un état d'esprit qui évidement ne se généralisait pas pour autant à tous les individus.
L'intrigue se tient, nous tient, est accessible, le récit agréable.
Une lecture à recommander.
