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Critique de gill


gill
29 décembre 2012
Le 17 septembre 1962, un statisticien remarqua à New-York une baisse inquiétante de la proportion des garçons dans les naissances survenues ce jour. En quelques jours, le nombre des naissances masculines tomba à zéro.
Il se passait, en pleine guerre froide, une chose que l'ouest ne pouvait pas reprocher à l'est, ni le contraire, et qui mettait l'avenir de l'humanité en danger.
On s'aperçut très vite que des rayons extra-terrestres étaient la cause de cette menace démographique.
Un astronaute américain fut alors envoyée sur la lune faire un enfant à une spationaute russe...
Le 21 décembre, la soirée a été calme, aucun martien n'était dans mon jardin, pas de tuiles fracassées par une pluie de météorites, aucun astéroïde n'apparaissait dans le ciel qui serait venu menacer la planète.
Alors décidant de faire face à cet ennui mortel, je me suis plongé dans le septième numéro de la série "Marginal" de la mythique maison d'édition "Opta", intitulé "Apothéoses, Apocalypses et retours à zéro".
Et quel plaisir d'y trouver d'excellentes nouvelles signées par des noms prestigieux du genre.
Brian van Anda est un vieil homme. Il s'est réfugié depuis longtemps dans le musée de l'homme construit en 2003 à Manhattan et resté depuis à l'abri de la montée des eaux. Brian est musicien, pianiste. Il est le seul survivant d'une guerre de sécession, d'un tremblement de terre, de la montée des eaux et de bombardements qui ont fait le vide autour de lui.
Il n'a parlé à personne depuis vingt-cinq ans et soudain apparait un jeune couple...
Ce recueil thématique, paru en 1975, contient six textes courts qui sont tous issus du meilleur de la SF anglo-saxonne des années 50, mis à part "et puis ce fut la paix" daté de 1962.
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