Bernard Maris paye sa dette à Marx. Il le relit, le digère et livre un outil de réflexion. (...)
L'exposé est brillant, limpide, agrémenté de commentaires qui facilitent la compréhension. Les capitalistes veulent toujours plus d'argent, nous explique-t-il, parce qu'ils ne peuvent faire autrement, comme le cycliste sur son vélo, condamner à pédaler pour ne pas tomber. Donc le capitalisme tombera, conclu-t-il.
Article complet sur le blog de la Bibliothèque Fahrenheit 451.
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