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Critique de Acerola13
Court récit autobiographique d'un auteur dont j'avais adoré la terre qui les sépare, ce mois à Sienne est un voyage intérieur et culturel où Hisham Matar admire avec une surprenante obsession certains des tableaux de la Pinacothèque de la ville, tirant au passage des réflexions sur la perte, l'exil, la politique.
En dehors de ces face-à-face culturels et personnels, l'auteur parcourt les rues de Sienne qui se fait plus familière de jour en jour : il finit par y rencontrer une famille syrienne, une voisine, des passants, noue une complicité avec les gardiennes du musée...
Une belle pérégrination comme suspendue dans une dimension parallèle.
En dehors de ces face-à-face culturels et personnels, l'auteur parcourt les rues de Sienne qui se fait plus familière de jour en jour : il finit par y rencontrer une famille syrienne, une voisine, des passants, noue une complicité avec les gardiennes du musée...
Une belle pérégrination comme suspendue dans une dimension parallèle.
