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Critique de Fantine
Une courte nouvelle guère facile d'accès, dans laquelle Mathias Enard évoque son érudition concernant la culture, l'art.
Celle-ci est centrée essentiellement autour de la peinture, la musique ainsi que l'amour. Amour que l'on peut éprouver envers le domaine dans lequel on excelle et/ou un homme ou une femme.
Une certaine sensualité se dégage parfois au fil des pages au travers les mots, le phrasé utilisés par Mathias Enard. Ce n'est peut être un coup de coeur ainsi qu'une lecture facile à lire et surtout à comprendre, mais, elle est intéressante malgré tout si l'on apprécie - ou non - la peinture et/ou la musique. Et, avec un peu d'imagination, on peut voir les divers protagonistes prendre vie sous nos yeux. Grâce à cette multitude de personnages haut en couleur, Venise s'anime, fourmille de vie.
Celle-ci est centrée essentiellement autour de la peinture, la musique ainsi que l'amour. Amour que l'on peut éprouver envers le domaine dans lequel on excelle et/ou un homme ou une femme.
Une certaine sensualité se dégage parfois au fil des pages au travers les mots, le phrasé utilisés par Mathias Enard. Ce n'est peut être un coup de coeur ainsi qu'une lecture facile à lire et surtout à comprendre, mais, elle est intéressante malgré tout si l'on apprécie - ou non - la peinture et/ou la musique. Et, avec un peu d'imagination, on peut voir les divers protagonistes prendre vie sous nos yeux. Grâce à cette multitude de personnages haut en couleur, Venise s'anime, fourmille de vie.
