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Critique de Roggy


Trouvé dans une boîte à livres, la 4ème de couverture m'a interpellée car j'avais regardé la nouvelle adaptation en mini-série des Chroniques de San Francisco, qui m'avait beaucoup plu.

«  Les amis sont la famille que nous choisissons », cette petite phrase résume un peu les liens étroits qui unissent les habitants de Barbary Lane.

La recherche de l'amour, les relations de couple et l'infidélité, la recherche de reconnaissance dans le monde du travail, la politique américaine, tous ces sujets reviennent constamment dans cette saga qu'Armistead Maupin s'applique à entretenir avec talent et qui a conquis des millions de lecteurs.

Est-ce ce langage assez universel qui nous touche intérieurement indépendamment de notre histoire personnelle?

Ce 5ème tome reprend l'histoire de quelques personnages phares et en introduit des nouveaux dans une atmosphère qui regorge des thématiques  propres aux années 1980: l'apparition du sida dans les milieux homosexuels, l'attachement des habitants à leur communauté de Barbary Lane et les diktats du culte du corps

Une petite aventure cocasse mais tout à fait improbable vient pimenter le récit, impliquant plusieurs personnages dans des péripéties digne des sitcoms genre « Desperate housewives »

Entre deux joints de bienvenue Mme Madrigal, la logeuse, personnage pas très développé dans ce tome, voit tout et comprend tout et prend soin de ses "chats errants" à sa façon bien particulière.

Une comédie humaniste irrésistible.

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