J'ai découvert
Peter May par le biais de sa trilogie écossaise et depuis je suis sous le charme. Après un petit voyage en Chine avec sa série chinoise, je me suis à nouveau plongée avec plaisir dans l'ambiance des tempêtes de l'archipel des Hébrides. Confortablement installée au coin du feu, j'ai trouvé ça top.
La vie de Niamh Macfarlane bascule quand la voiture dans laquelle se trouve son mari explose en plein Paris. de retour chez elle, avec les restes du corps de son mari dans une boîte, elle doit affronter son immense peine, sa famille et sa belle-famille qui se vouent une haine tenace depuis un drame que l'auteur nous dévoilera vers la fin du roman.
Comme d'habitude, j'ai apprécié le style de
Peter May, ses descriptions de paysages rudes, de météo capricieuse ainsi que l'évolution de ses personnages. L'enquête sert de fil conducteur. Les chapitres alternent entre le présent et les souvenirs de Niamh : son enfance, son adolescence, son amitié avec Seonag, sa rencontre avec Ruairidh, le monde du textile. J'ai apprécié le rythme. Quant au dénouement, j'admire l'imagination de l'auteur car j'étais loin d'avoir trouvé l'auteur du meurtre.
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