Ça vire grand guignol.
Côté science-fiction, c'est toujours le vide intersidéral qui ne mérite même pas une réflexion.
Côté sexe : On le voyait venir le monstre aux multiples appendices. Ben ça y est, il est là, dans toute sa splendeur. Stella en prend pour son grade et prend au premier degré son statut d'Aspirante, avalant à grande gorgée le liquide roboratif qui s'échappe par toutes les extrémités excitées du monstre vert.
On voulait du ridicule, on est en plein dedans. le seul passage intéressant reste son « aventure » humaine.
Seconde et dernière tentative pour la littérature érotique des Bios super élite.
Le seul truc à sauver de ce nanar intersidéral (qui n'a d'étoile (Orion) que le nom, car il ne nous fait même pas voyager), c'est la couverture que je trouve très esthétique (tout comme la première).
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