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Critique de jcjc352
Une auteure que l'on a bien oubliée et qui n'est jamais remise à l'honneur et c'est bien dommage car, femme de lettres française (1889-1989), elle a été la première lauréate féminine du Grand prix du roman de l'Académie française en 1918. C'est pas rien quand même. C' est étonnant qu'il soit si difficile de trouver son bouquin, son résumé et des informations sur elle alors qu'elle a eu un succès certain en son heure.
« Histoire de Gotton Connixloo, suivi dans cette édition de L'Oubliée» a été trouvé et lu sur wiki-source.
C'est l'histoire d'un adultère (surtout celui du forgeron) entre Gotton, une jeune fille non mariée et un forgeron marié et boiteux. La chose est très mal prise par le père veuf qui s'est réfugié dans la religion et le village tout entier qui jalouse cette belle jeune femme qui a refusé bien des soupirants. On est en Flandres, un pays plat, à la veille d'une invasion (1914-1918?) des allemands appelés ici « les bavarois »
le forgeron quitte sa femme et ses enfants et ils vivent maritalement avec bien des soucis fait par leur entourage les commères, le père qui se lamente et ne sonne plus l'angélus, le curé un brave homme mais un curé quand même et donc le péché...
Malgré la joie d'être avec son amoureux Gotton bien vite devient malheureuse car déçue, elle se sent méprisée et coupable vis à vis des enfants du forgeron et chagrine de ne pas en avoir.
Les us et coutumes de la société brise cette jeune femme naïve et aimante .
Un drame, même un mélodrame en raison du pathétique de l'intrigue, comme on en fait plus avec une lamentation féminine d'époque qu'il est bien difficile de comprendre aujourd'hui. C'est donc un récit larmoyant ou « toute la misère du monde tombe sur les pieds » de Gotton comme dirait Coluche mais il n'est pas excessif et se comprend toutefois si on y prête un peu d'attention et qu'on fasse preuve d'empathie. Une fin en apothéose qui réconcilie le village, le père et le curé avec Gotton mais qui désespère Luc le forgeron.
«Il n'y a pas d'amour heureux» disait «Il n'y a pas d'amour heureux» disait Louis Aragon et apparemment c'était vrai pour Gotton.
« Histoire de Gotton Connixloo, suivi dans cette édition de L'Oubliée» a été trouvé et lu sur wiki-source.
C'est l'histoire d'un adultère (surtout celui du forgeron) entre Gotton, une jeune fille non mariée et un forgeron marié et boiteux. La chose est très mal prise par le père veuf qui s'est réfugié dans la religion et le village tout entier qui jalouse cette belle jeune femme qui a refusé bien des soupirants. On est en Flandres, un pays plat, à la veille d'une invasion (1914-1918?) des allemands appelés ici « les bavarois »
le forgeron quitte sa femme et ses enfants et ils vivent maritalement avec bien des soucis fait par leur entourage les commères, le père qui se lamente et ne sonne plus l'angélus, le curé un brave homme mais un curé quand même et donc le péché...
Malgré la joie d'être avec son amoureux Gotton bien vite devient malheureuse car déçue, elle se sent méprisée et coupable vis à vis des enfants du forgeron et chagrine de ne pas en avoir.
Les us et coutumes de la société brise cette jeune femme naïve et aimante .
Un drame, même un mélodrame en raison du pathétique de l'intrigue, comme on en fait plus avec une lamentation féminine d'époque qu'il est bien difficile de comprendre aujourd'hui. C'est donc un récit larmoyant ou « toute la misère du monde tombe sur les pieds » de Gotton comme dirait Coluche mais il n'est pas excessif et se comprend toutefois si on y prête un peu d'attention et qu'on fasse preuve d'empathie. Une fin en apothéose qui réconcilie le village, le père et le curé avec Gotton mais qui désespère Luc le forgeron.
«Il n'y a pas d'amour heureux» disait «Il n'y a pas d'amour heureux» disait Louis Aragon et apparemment c'était vrai pour Gotton.
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