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Critique de Malahide75
Grâce à Peter Reidinger (« Le Bond vers l'infini ») et sa descendance, les Doués ont ouvert les vols spatiaux aux humains : les télékinétiques se font en effet fort de construire des vaisseaux, déplacés dans le système solaire grâce aux Métas, rares doués aux pouvoirs inégalés.
Sur Altaïr, une petite fille de trois ans, seule survivante d'un désastre naturel présente tous les signes d'une future Méta ; baptisée la Rowane, son éducation est prise en charge par la responsable de la planète, Siglen. Ce troisième titre de la saga le Vol de Pégase nous narre son apprentissage et son évolution jusqu'à l'âge adulte et ses difficultés pour sortir de la coupe de Siglen.
Ce roman est d'une moindre qualité que le précédent, surtout lorsque la Rowane devient adulte : l'histoire manque de profondeur ; les stéréotypes sont constants ; l'histoire d'amour inévitable est ridicule et le propos parfois confus (il y a indéniablement des erreurs de traduction dans ma version). La lecture de la seconde moitié est donc poussive…
L'auteure ne s'est pas trop creusé la tête pour camper la race intelligente qui décide d'attaquer les avants postes humains et ses messages en faveur du rôle de la femme enfoncent des portes ouvertes : ce serait mignon si ce n'était pas navrant.
Bref, beaucoup trop d'eau de rose dans cet épisode à mon goût.
Sur Altaïr, une petite fille de trois ans, seule survivante d'un désastre naturel présente tous les signes d'une future Méta ; baptisée la Rowane, son éducation est prise en charge par la responsable de la planète, Siglen. Ce troisième titre de la saga le Vol de Pégase nous narre son apprentissage et son évolution jusqu'à l'âge adulte et ses difficultés pour sortir de la coupe de Siglen.
Ce roman est d'une moindre qualité que le précédent, surtout lorsque la Rowane devient adulte : l'histoire manque de profondeur ; les stéréotypes sont constants ; l'histoire d'amour inévitable est ridicule et le propos parfois confus (il y a indéniablement des erreurs de traduction dans ma version). La lecture de la seconde moitié est donc poussive…
L'auteure ne s'est pas trop creusé la tête pour camper la race intelligente qui décide d'attaquer les avants postes humains et ses messages en faveur du rôle de la femme enfoncent des portes ouvertes : ce serait mignon si ce n'était pas navrant.
Bref, beaucoup trop d'eau de rose dans cet épisode à mon goût.
