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Critique de missmolko1


Quel bonheur de retrouver Mma Ramotswe et ses enquêtes dans ce troisième tome de la saga. Ici les enquêtes arrivent que tardivement et ce roman est plus accès sur le couple Mma Ramotswe et Mr J. L. B. Matekoni. Malgré ça, j'ai dévoré ce tome d'une traite lors d'un voyage en train.

Le couple de fiancés fait faite a des difficultés avant leur mariage : Mma Ramotswe, se rend compte que son agence n'est pas assez rentable et envisage de s'installer dans les locaux du garage de son futur mari, tandis que Mr J. L. B. Matekoni, souffre de dépression et délaisse son garage. Heureusement Mma Makutsi, va prendre le taureau par les cornes et faire tourner les deux entreprises avec brio.

Coté enquêtes, je les ai beaucoup aimé même si elles assez simples et ont été un peu vite résolues. Mma Ramotswe est chargé par un homme d'Etat d'enquêter dans sa famille car il soupçonne sa belle-soeur de vouloir empoisonné son frère, tandis que Mma Makutsi, va devoir s'assurer que les quatre finalistes d'un concours de beauté sont irréprochables.
""Bon, les hommes du Botswana aiment les jolies femmes. Ils ne cessent de les regarder même lorsqu'ils prennent de l'âge, et de se dire : "Cette femme est belle", ou"Celle ci est plus jolie que celle-là", etc.
- Ils font la même chose avec le bétail, fit remarquer Mma Makutsi. Ils disent: "Cette vache-là est bonne" et "Celle-ci est moins bonne."Le bétail. Les femmes . C'est la même chose pour les hommes.
Mr. Pulani lui jeta un regard en biais.
- Peut être, admit-il. C'est une façon de voir les choses. Peut être."

L'écriture de l'auteur est toujours aussi belle, le roman est truffé d'humour et surtout, comme avec les deux tomes précédents, nous avons juste envie de prendre un billet d'avion pour le Botswana.
"C'était bien d'être africain. certes, il se passait des choses terribles sur ce continent, des choses qui amenaient la honte et le désespoir lorsqu'on les méditait, mais elles n'étaient pas tout. Aussi profondes fussent les souffrances des peuples de l'Afrique, aussi déchirants la cruauté et le chaos apportés par les soldats - de petits garçons auxquels on avait confié des armes, en vérité -, il restait en Afrique d'innombrables sujets de fierté. La bonté humaine, par exemple. Et l'aptitude au sourire. Et l'art et la musique."
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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