Dans un univers dévasté, un homme et son fils marchent sur
la route et j'ai marché avec eux.
J'ai vu le monde gris, sans oiseaux, ni verdure, avec un soleil voilé par le nuage de cendres, avec des ruines, des cadavres et des barbares cannibales.
J'ai ressenti la peur, la faim, le désespoir et aussi l'amour de ce père qui garde deux balles dans son revolver pour pouvoir mourir avec son fils.
J'ai pris "
La route", un roman post-apocalyptique aux émotions intenses.
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