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Critique de Sacajawa
Je suis devenue, au fil de mes lectures, une inconditionnelle des romans de Mhairi McFarlane. Son roman, "Parce que c'était nous" est un de ceux que j'ai le plus aimé. Alors arrivant aux dernières pages de celui-ci quand j'ai compris qu'il y avait une suite, j'étais plus qu'impatiente de la lire.
Habituée à des petites briques de 500-600 pages, j'ai d'abord été décontenancée par la petitesse de celui-ci.
Cela dit, cette mince prolongation m'a quand même emportée : c'est gai d'explorer un peu la vie d'après : "ils s'embrassèrent et finirent heureux". Les aléas post lune de miel : quand les côtés plus sombres de la relation émergent, quand le manque de confiance en soi et/ou en l'autre vient entâché le quotidien jusqu'alors rêvé. J'ai aimé le côté réaliste de cette suite et de voir, avec un peu de voyeurisme, comment "mes protagonistes" préféres les gèrent avec si peu et tant de maturité à la fois.
Je pense que mon plaisir de lecture a été décuplé d'avoir pu lire les 2 romans directement l'un à la suite de l'autre. Un détail de taille que je conseille vivement aux prochains lecteurs.
Habituée à des petites briques de 500-600 pages, j'ai d'abord été décontenancée par la petitesse de celui-ci.
Cela dit, cette mince prolongation m'a quand même emportée : c'est gai d'explorer un peu la vie d'après : "ils s'embrassèrent et finirent heureux". Les aléas post lune de miel : quand les côtés plus sombres de la relation émergent, quand le manque de confiance en soi et/ou en l'autre vient entâché le quotidien jusqu'alors rêvé. J'ai aimé le côté réaliste de cette suite et de voir, avec un peu de voyeurisme, comment "mes protagonistes" préféres les gèrent avec si peu et tant de maturité à la fois.
Je pense que mon plaisir de lecture a été décuplé d'avoir pu lire les 2 romans directement l'un à la suite de l'autre. Un détail de taille que je conseille vivement aux prochains lecteurs.
