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Critique de stokely
J'ai à nouveau beaucoup aimé ce nouveau livre d'Anna Mc Partlin, j'ai aimé suivre Maisie qui s'occupe de son fils Jeremy après avoir quitté son mari violent.
J'ai aimé les thèmes abordés dans ce récit, la violence conjugale et l'homosexualité, j'ai aimé les personnages celui de Jeremy jeune adolescent un peu perdu au niveau amoureux, Bridie sa grand-mère qui vit avec eux et qui a tout moment oubli tout ce qui l'entoure à cause de sa maladie d'Alzheimer, Valerie qui est également la fille de Maisie.
La vie de celle-ci est vraiment très compliquée après avoir rompu avec son mari, elle doit vivre avec sa mère malade et s'occuper seule de ses deux adolescents, heureusement que Lynn sa meilleure amie et Fred L inspecteur de police vont être à ses côtés.
J'ai aimé suivre tous ces personnages et j'aime toujours autant la plume de l'auteur, c'est certainement un livre dont je garderai le souvenir des personnages durant un petit moment.
Anna Mc Partlin a le don de faire passer et ressentir des émotions avec des sujets qui pourraient aller vers le pathos mais elle le traite toujours avec pudeur, humour et le récit en sort toujours lumineux.
J'ai aimé les thèmes abordés dans ce récit, la violence conjugale et l'homosexualité, j'ai aimé les personnages celui de Jeremy jeune adolescent un peu perdu au niveau amoureux, Bridie sa grand-mère qui vit avec eux et qui a tout moment oubli tout ce qui l'entoure à cause de sa maladie d'Alzheimer, Valerie qui est également la fille de Maisie.
La vie de celle-ci est vraiment très compliquée après avoir rompu avec son mari, elle doit vivre avec sa mère malade et s'occuper seule de ses deux adolescents, heureusement que Lynn sa meilleure amie et Fred L inspecteur de police vont être à ses côtés.
J'ai aimé suivre tous ces personnages et j'aime toujours autant la plume de l'auteur, c'est certainement un livre dont je garderai le souvenir des personnages durant un petit moment.
Anna Mc Partlin a le don de faire passer et ressentir des émotions avec des sujets qui pourraient aller vers le pathos mais elle le traite toujours avec pudeur, humour et le récit en sort toujours lumineux.
