>
Critique de florencem
Toujours dans ma relecture de la saga, j'ai englouti le tome trois en à peine une journée et le tome quatre est juste à côté de moi. Vous l'avez compris, j'adore toujours autant l'histoire de Richelle Mead. Je trouve vraiment que l'auteur a su garder le lecteur en haleine et son univers s'enrichit de plus en plus. Il y a aussi une constance dans l'histoire et je ne sens absolument pas de baisse de niveau, ce qui est assez rare pour le souligner.
Nous sommes donc de retour à l'académie pour ce troisième tome. J'avoue que s'éloigner un peu de la structure scolaire était très sympa et c'était une très bonne idée de la part de l'auteur d'entrecouper ses tomes de la sorte pour éviter qu'une certaine routine s'installe. Revoir Rose et Lissa à l'école n'avait pas cette connotation répétitive pour le coup. Surtout que Rose et les novices de dernière année ont leur examen final, une mise en situation pour leur travail de gardiens. Et même si ce sont des simulations, nous avons tout de même un aperçu de ce que sera leur travail, une fois en dehors de l'école. le côté sacrifice est encore plus mis en avant. C'est une bonne et mauvaise chose pour moi. Mauvaise car je ne suis pas fan du « sacrifice » même si c'est leur choix. Bonne car cela nous permet d'appréhender aussi la révolution au sein de la communauté Moroï qui a débuté dans le second tome. le fait que les Dhampir et les Moroï puissent se battre ensemble est d'ailleurs quelque chose que je trouve très excitant. Les duos seraient une dynamique très intéressante à exploiter (nous en avons d'ailleurs un petit aperçu dans ce tome), mais avant tout, ce serait un pas en avant pour « libérer » les gardiens, et secouer cette ancienne organisation que sont les Moroï. Je n'ai rien contre la tradition, mais comme beaucoup, je suis sensible aux inégalités. Ce côté politique du roman nous fait réfléchir et c'est clairement un plus.
Le procès de Victor est aussi un souci qui est exploité, mais j'ai trouvé qu'il n'avait pas autant d'importance que cela. Il nous permet d'apprendre certaines choses, mais en soi, il est plus une « excuse » pour nous plonger un peu plus dans le monde de la monarchie et de ses intrigues. Je n'ai pas trouvé ce passage très palpitant, cependant, il a permis un rapprochement entre Lissa et Rose. Ce qui est une excellente chose car c'est un peu ce qui me manque le plus dans le roman. J'ai l'impression que les deux amies s'éloignent de plus en plus. Rose ne se confie plus à son amie (pour de bonnes raisons certes), mais la voir souffrir comme ça est assez difficile à encaisser. Ses impulsions agressives sont aussi préoccupantes. En tant que lecteur, il est facile d'appréhender son comportement, mais il n'en reste pas moins douloureux à voir. Sa relation avec Christian était par contre un petit brin d'oxygène. J'aime beaucoup le duo et cela change de les voir interagir de la sorte. Eddie que l'on avait à peine aperçu prend beaucoup plus d'ampleur aussi. J'aime beaucoup ce que Richelle Mead a décidé de faire de ce personnage. Adrian m'agace par contre. Il n'est pas méchant, mais je n'arrive vraiment pas à apprécier le personnage.
Parlons maintenant un petit peu de la relation entre Rose et Dimitri. Je l'avoue c'est l'un des éléments qui fait que j'adore la série. Et dans ce tome nous avons droit à une grande avancée. C'est intense à tous les niveaux. Et Richelle Mead est une sadique (mais je crois que c'est un trait commun à tous les auteurs… si, si, ça a été prouvé).
La fin est juste fantastique. C'est à y bien penser, ma partie préférée à plusieurs niveaux. Les événements qui se produisent nous tiennent carrément en haleine et son palpitant à souhait. Richelle Mead a réussi encore une fois à me scotcher autant pour l'action, les émotions, les intrigues et aussi ce qui se profile pour la suite. le dernier chapitre est par contre une vraie descente émotionnelle… le tome suivant sera sûrement moins plaisant à lire par certains aspects, mais je garde confiance en l'auteur. Comme je l'ai déjà dit, même si je ne me souviens pas de tous les détails, je garde un excellent souvenir de toute la saga, donc je pars « plus ou moins tranquille » pour la suite.
Nous sommes donc de retour à l'académie pour ce troisième tome. J'avoue que s'éloigner un peu de la structure scolaire était très sympa et c'était une très bonne idée de la part de l'auteur d'entrecouper ses tomes de la sorte pour éviter qu'une certaine routine s'installe. Revoir Rose et Lissa à l'école n'avait pas cette connotation répétitive pour le coup. Surtout que Rose et les novices de dernière année ont leur examen final, une mise en situation pour leur travail de gardiens. Et même si ce sont des simulations, nous avons tout de même un aperçu de ce que sera leur travail, une fois en dehors de l'école. le côté sacrifice est encore plus mis en avant. C'est une bonne et mauvaise chose pour moi. Mauvaise car je ne suis pas fan du « sacrifice » même si c'est leur choix. Bonne car cela nous permet d'appréhender aussi la révolution au sein de la communauté Moroï qui a débuté dans le second tome. le fait que les Dhampir et les Moroï puissent se battre ensemble est d'ailleurs quelque chose que je trouve très excitant. Les duos seraient une dynamique très intéressante à exploiter (nous en avons d'ailleurs un petit aperçu dans ce tome), mais avant tout, ce serait un pas en avant pour « libérer » les gardiens, et secouer cette ancienne organisation que sont les Moroï. Je n'ai rien contre la tradition, mais comme beaucoup, je suis sensible aux inégalités. Ce côté politique du roman nous fait réfléchir et c'est clairement un plus.
Le procès de Victor est aussi un souci qui est exploité, mais j'ai trouvé qu'il n'avait pas autant d'importance que cela. Il nous permet d'apprendre certaines choses, mais en soi, il est plus une « excuse » pour nous plonger un peu plus dans le monde de la monarchie et de ses intrigues. Je n'ai pas trouvé ce passage très palpitant, cependant, il a permis un rapprochement entre Lissa et Rose. Ce qui est une excellente chose car c'est un peu ce qui me manque le plus dans le roman. J'ai l'impression que les deux amies s'éloignent de plus en plus. Rose ne se confie plus à son amie (pour de bonnes raisons certes), mais la voir souffrir comme ça est assez difficile à encaisser. Ses impulsions agressives sont aussi préoccupantes. En tant que lecteur, il est facile d'appréhender son comportement, mais il n'en reste pas moins douloureux à voir. Sa relation avec Christian était par contre un petit brin d'oxygène. J'aime beaucoup le duo et cela change de les voir interagir de la sorte. Eddie que l'on avait à peine aperçu prend beaucoup plus d'ampleur aussi. J'aime beaucoup ce que Richelle Mead a décidé de faire de ce personnage. Adrian m'agace par contre. Il n'est pas méchant, mais je n'arrive vraiment pas à apprécier le personnage.
Parlons maintenant un petit peu de la relation entre Rose et Dimitri. Je l'avoue c'est l'un des éléments qui fait que j'adore la série. Et dans ce tome nous avons droit à une grande avancée. C'est intense à tous les niveaux. Et Richelle Mead est une sadique (mais je crois que c'est un trait commun à tous les auteurs… si, si, ça a été prouvé).
La fin est juste fantastique. C'est à y bien penser, ma partie préférée à plusieurs niveaux. Les événements qui se produisent nous tiennent carrément en haleine et son palpitant à souhait. Richelle Mead a réussi encore une fois à me scotcher autant pour l'action, les émotions, les intrigues et aussi ce qui se profile pour la suite. le dernier chapitre est par contre une vraie descente émotionnelle… le tome suivant sera sûrement moins plaisant à lire par certains aspects, mais je garde confiance en l'auteur. Comme je l'ai déjà dit, même si je ne me souviens pas de tous les détails, je garde un excellent souvenir de toute la saga, donc je pars « plus ou moins tranquille » pour la suite.
