J'ai un peu honte mais je vais assumer,
Moby Dick, malgré l'étalement de la lecture dans le temps et toutes les stratégies possibles pour essayer d'en arriver au bout (lecture sur smartphone pour m'y coller partout par exemple), bah, j'ai pas pu.
Quel soulagement d'avoir abdiqué.
Je remercie pour
Pennac pour le droit numéro 3.
Ce roman est victime de son époque, et contrairement à des chefs d'oeuvre d'un Steinbeck ou d'un
Jules Verne, et il est daté, trop daté.
J'ai détesté les descriptifs de la destruction organisée des baleines, qui a renchéri sur mon écoeurement préexistant de la cruauté humaine. Rien de beau là dedans.
C'est long à démarrer, c'est bourré de détails beaucoup trop techniques, pour in fine n'en retenir que la capacité d'un homme même incomplet à assouvir une obsession.
Tout ça pour ça, ça fait longtemps qu'on m'avait spoilé la fin, j'ai laissé tomber, mea culpa.
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