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Critique de LoupAlunettes
La visite de la dame de fer devait être réjouissante, elle devait susciter enfin l'excitation dans le grand corps made in British de Miss Nathalie Princeton.
La Tour Eiffel! On ne pouvait pas faire plus parisien. 10 euro en poche de Mme Labat la voisine pour servir de guide à sa nièce dans les rues de Paris aurait du permettre d'oublier le voyage linguistique à Londres prochain auquel il ne pouvait plus participer. Épater sa copine Mélanie et pouffer de rire au premier rang à l'annonce du nom de son professeur de Maths, c'était payé très cher, sans parler des menus travaux d'intérêts généraux auprès des professeurs en guise de leçon. Mais quand même, « Monsieur Prout » ?! Vous n'auriez pas ri, vous ?
Bref. Nathalie s'avérait une touriste dure à satisfaire et à épater, le vol de son porte-monnaie au pied du grand A de Monsieur Eiffel n'avait rien arrangé. Ah lala, bien au contraire.
Sam se devait d'inverser la vapeur ou ce we prolongé allait être un véritable cauchemar. Peut-être que Marius le vendeur d'ocarina près de la tour aurait aperçu dans cette foule un porte-monnaie filer « à l'anglaise"?!. Un peu d'humour ne fait pas de mal et cette Miss Nathalie un peu blasée en manque tellement...
: Pour dire vrai, cette aventure n'est pas une enquête. le vol du portefeuille est l'excuse d'une péripétie qui compliquera la relation mal démarrée entre le jeune Sam et sa visiteuse anglaise mal embouchée. Oui, c'est un véritable prétexte car sous les remarques et qualificatifs à l'humour peu délicat se cache un véritable coups de coeur pour ce "lampadaire" au foulard léopard. Les garçons, l'amour et les mots qui vont avec.
Hervé Mestron met de la gouaille dans les mots du petit Sam, un mélange d'argot et de poésie saupoudré d'humour. Les jeunes lecteurs seront surtout confidents des états d'âme du petit gars brave et polisson, un brin gauche quand il s'agit des filles (rappelez-vous « Mélanie Mystère »). L'auteur portera d'avantage l'accent sur ces personnages, son anglaise pénible, Marius l'ancien pickpocket, que dans une véritable intrigue aventureuse.
Un jeu de rencontre sympathique pour ce petit bonhomme qui aime rendre service et ne se prive pas de faire quelques bêtises aussi. Des gaffes qui seront le sel de ces histoires. Bonne lecture!
La Tour Eiffel! On ne pouvait pas faire plus parisien. 10 euro en poche de Mme Labat la voisine pour servir de guide à sa nièce dans les rues de Paris aurait du permettre d'oublier le voyage linguistique à Londres prochain auquel il ne pouvait plus participer. Épater sa copine Mélanie et pouffer de rire au premier rang à l'annonce du nom de son professeur de Maths, c'était payé très cher, sans parler des menus travaux d'intérêts généraux auprès des professeurs en guise de leçon. Mais quand même, « Monsieur Prout » ?! Vous n'auriez pas ri, vous ?
Bref. Nathalie s'avérait une touriste dure à satisfaire et à épater, le vol de son porte-monnaie au pied du grand A de Monsieur Eiffel n'avait rien arrangé. Ah lala, bien au contraire.
Sam se devait d'inverser la vapeur ou ce we prolongé allait être un véritable cauchemar. Peut-être que Marius le vendeur d'ocarina près de la tour aurait aperçu dans cette foule un porte-monnaie filer « à l'anglaise"?!. Un peu d'humour ne fait pas de mal et cette Miss Nathalie un peu blasée en manque tellement...
: Pour dire vrai, cette aventure n'est pas une enquête. le vol du portefeuille est l'excuse d'une péripétie qui compliquera la relation mal démarrée entre le jeune Sam et sa visiteuse anglaise mal embouchée. Oui, c'est un véritable prétexte car sous les remarques et qualificatifs à l'humour peu délicat se cache un véritable coups de coeur pour ce "lampadaire" au foulard léopard. Les garçons, l'amour et les mots qui vont avec.
Hervé Mestron met de la gouaille dans les mots du petit Sam, un mélange d'argot et de poésie saupoudré d'humour. Les jeunes lecteurs seront surtout confidents des états d'âme du petit gars brave et polisson, un brin gauche quand il s'agit des filles (rappelez-vous « Mélanie Mystère »). L'auteur portera d'avantage l'accent sur ces personnages, son anglaise pénible, Marius l'ancien pickpocket, que dans une véritable intrigue aventureuse.
Un jeu de rencontre sympathique pour ce petit bonhomme qui aime rendre service et ne se prive pas de faire quelques bêtises aussi. Des gaffes qui seront le sel de ces histoires. Bonne lecture!
