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Critique de tchouk-tchouk-nougat


En Antarctique un groupe de scientifique font une découverte extraordinaire. Loin sous la glace, une construction émet des ultrasons. Aussitôt une équipe internationale est réunie et va mettre à jour un dôme en or renfermant deux personnes endormies depuis des millénaires, vestiges d'une civilisation avancée mais disparue.

Ce récit de science-fiction est une adaptation d'un célèbre roman de Barjavel. Je ne l'ai pas lu et je ne sais pas si le contenu est fidèle à l'histoire originelle qui date de 68, mais je ne l'ai pas trouvé démodée pour autant.
Nous allons découvrir Eléa, survivante cryogénisée d'une guerre qui a ravagée la Terre plusieurs millions d'années avant notre ère. Et à travers elle, la civilisation bien ordonnée qui l'a vue naitre. L'on ressent surtout son amour pour l'homme de sa vie, Païkan qui n'a pas été choisi pour survivre à la fin du monde. C'est cet amour le ciment de toute l'oeuvre et que l'on perçoit parfaitement à travers les pages. Il existe une véritable tension dramatique jusqu'à cette fin assez triste mais qui laisse néanmoins un message qui résonne plus fortement aujourd'hui encore que peut-être en 1968. La planète est fragile, et les hommes capables des pires horreurs surtout quand ils se battent entre eux, jusqu'à inventer des armes capables de tout éradiquer...

Le dessin m'a d'abord paru froid et sombre. J'ai eu du mal à me plonger dans ce trait aux traces charbonneuses et à la colorisation pâle. Et puis à l'image de cette envoutante couverture, je me suis laissée gagnée par la magie qui transperçait du récit.
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