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Critique de BillDOE


Un polar léger, une intrigue qui s'intensifie au fil d'une lecture véloce...
« In vino, veritas ! »
Le cadavre de Ernst Richter est retrouvé sur une plage d'Afrique du Sud. L'équipe des Hawks est chargée de l'enquête. Benny Griessel qui a replongé dans l'alcool et son collègue le capitaine Cupido mènent les investigations. La victime est connue pour être le fondateur d'un site internet qui fournit des alibis aux aficionados de l'adultère. Devenu rapidement très riche mais aussi couvert de dettes, il faisait chanter ses clients. Ainsi plusieurs pistes s'ouvrent à nos fins limiers...
Parallèlement à ça, François du Toit, propriétaire d'un domaine viticole, est auditionné par son avocate. Il raconte l'histoire de sa famille...
Trouvez le lien !
L'écriture est réduite à sa plus simple expression, elle pourrait même sembler inaboutie. le récit manque de liant. On passe d'une chose à une autre, d'un chapitre à l'autre sans que les faits se recoupent forcément. Ce n'est qu'après une bonne moitié de roman que l'on commence à entrer dans le dur de cette affaire. Ce qui interpelle dès le départ, c'est le témoignage du viticulteur à son avocate. Par contre, que l'auteur se soit « étalé » sur l'addiction à l'alcool d'un de ses personnages, n'apporte que lourdeur et ennui au lecteur.
C'est néanmoins un agréable moment de lecture. On est loin d'un roman à suspens insoutenable mais on se laisse facilement porter par le récit de ce crime et le dénouement nous tire une larme de joie.
Traduction de Georges Lory.
Editions du Seuil, 448 pages.
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