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Critique de LoupAlunettes
" le vieille chéchette" est de ses contes de campagne qui comme ceux traditionnels et plus merveilleux devaient éduquer la jeunesse.
Pas de loup, ni de sorcière, pour enchanter et distancier un peu, juste la vie, avec sa cruauté, ses propres "monstres qui ressemblent à nos voisins et ses leçons".
Il était une fois une créature bien mal mise, à la chevelure rousse mal peignée et toute aussi touffue qu'un buisson, au corps et à la bouche tordue, à la peau ridée comme un tronc d'arbre.
Personne n'avait connu la vieille Chéchette autrement, vieille dès l'enfance et grognant pour se faire comprendre de quiconque qu'elle pouvait croiser.
C'est le conte d'un personnage vivant dans les bois, préférant la bienveillance des animaux plutôt que des humains.
Ceci aura de l'importance pour la suite.
"La vieille Chéchette" sera un conte sur les apparences, nous rappelant le personnage de Quasimodo de " Notre Dame de Paris" de Victor Hugo, moqué, parfois maltraité, pour son handicap ou sa folie douce, la distinction de l'un ou de l'autre n'aura pas de préférence face à la plaisanterie.
Chéchette était toute différente, ne s'exprimant pas comme les autres et ne méritant pas la considération des petites-gens. Sauf de Germaine et de ses enfants, à qui Chéchette offrait le coup de main pour porter les fagots de bois et porter les marmots, sans rien demander en retour.
La fin sera tragique, frappé par le sort funeste mais éloquant de courage et devra faire changer le regard des adultes et des enfants du village qui aimaient à juger facilement.
" La vieille Chéchette" est un conte volontairement triste pour toucher le coeur des enfants lecteurs qui, évidemment, ne pourront se trouver insensible à leur erreur sur le personnage.
La morale nous invitera un peu cruellement à respecter les fous et les vieux, car nous le comprenons, ils sont des gens comme les autres et parfois même, comme la vieille Chéchette, des exemples d'humanité plus respectables.
Pas de loup, ni de sorcière, pour enchanter et distancier un peu, juste la vie, avec sa cruauté, ses propres "monstres qui ressemblent à nos voisins et ses leçons".
Il était une fois une créature bien mal mise, à la chevelure rousse mal peignée et toute aussi touffue qu'un buisson, au corps et à la bouche tordue, à la peau ridée comme un tronc d'arbre.
Personne n'avait connu la vieille Chéchette autrement, vieille dès l'enfance et grognant pour se faire comprendre de quiconque qu'elle pouvait croiser.
C'est le conte d'un personnage vivant dans les bois, préférant la bienveillance des animaux plutôt que des humains.
Ceci aura de l'importance pour la suite.
"La vieille Chéchette" sera un conte sur les apparences, nous rappelant le personnage de Quasimodo de " Notre Dame de Paris" de Victor Hugo, moqué, parfois maltraité, pour son handicap ou sa folie douce, la distinction de l'un ou de l'autre n'aura pas de préférence face à la plaisanterie.
Chéchette était toute différente, ne s'exprimant pas comme les autres et ne méritant pas la considération des petites-gens. Sauf de Germaine et de ses enfants, à qui Chéchette offrait le coup de main pour porter les fagots de bois et porter les marmots, sans rien demander en retour.
La fin sera tragique, frappé par le sort funeste mais éloquant de courage et devra faire changer le regard des adultes et des enfants du village qui aimaient à juger facilement.
" La vieille Chéchette" est un conte volontairement triste pour toucher le coeur des enfants lecteurs qui, évidemment, ne pourront se trouver insensible à leur erreur sur le personnage.
La morale nous invitera un peu cruellement à respecter les fous et les vieux, car nous le comprenons, ils sont des gens comme les autres et parfois même, comme la vieille Chéchette, des exemples d'humanité plus respectables.
