Une oeuvre que j'ai plus appréciée pour l'écriture lyrique, poétique et enlevée de Michelet (notamment dans la partie sur la naissance de
la Sorcière au Moyen-Âge), ainsi que pour sa sensualité presque érotique par moment, que pour son analyse historique aujourd'hui dépassée. Par exemple, un historien tend aujourd'hui d'écrire de façon objective, sans s'impliquer personnellement. Ici, on voit très bien le mépris contre les Jésuites de Michelet, son anticléricalisme. de même, j'ai été gênée par la vision des femmes, entre vénération et misogynie typique du XIXème siècle.
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