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Critique de Citelle
Cette BD fleure bon les années 80, où les geeks de la première heure, enfants ou adolescents, jouaient dans des salles d'arcade, comme dans les films cultes "Retour vers le futur" ou "War games".
Kid Paddle est un garçon en école primaire à l'imagination débordante. Fan de jeux vidéos les plus gores, il confond facilement vie réelle et jeux. Il en fait voir de toutes les couleurs à son père très blasé et à sa grande soeur, Carole, au caractère bien trempé (il en lui faut !).
Il est entouré d'un copain fort en maths et d'un autre un peu naïf.
Il y a aussi un gardien de salle d'arcade, un grand-père, un instituteur remplaçant, plus rigolos les uns que les autres.
Dans cette BD, les trois compères ne peuvent s'empêcher de construire un château de sable à l'apparence de monstre, ils fabriquent des têtes réduites avec des pommes en promo et parfument à l'odeur de poubelle la chambre de Carole.
On voit qu'une partie de scrabble ou de memory peut finir à l'hôpital, qu'il faut à tout prix échapper à Rikiki le canard et on sait enfin pourquoi les vaches ont des taches.
C'est très drôle, d'un humour potache un peu distancié. Les mimiques des personnages sont bien rendues. Les héros sont dessinés tout petits et tout mignons, et, malgré leurs goûts morbides, ils restent des enfants.
Kid Paddle est un garçon en école primaire à l'imagination débordante. Fan de jeux vidéos les plus gores, il confond facilement vie réelle et jeux. Il en fait voir de toutes les couleurs à son père très blasé et à sa grande soeur, Carole, au caractère bien trempé (il en lui faut !).
Il est entouré d'un copain fort en maths et d'un autre un peu naïf.
Il y a aussi un gardien de salle d'arcade, un grand-père, un instituteur remplaçant, plus rigolos les uns que les autres.
Dans cette BD, les trois compères ne peuvent s'empêcher de construire un château de sable à l'apparence de monstre, ils fabriquent des têtes réduites avec des pommes en promo et parfument à l'odeur de poubelle la chambre de Carole.
On voit qu'une partie de scrabble ou de memory peut finir à l'hôpital, qu'il faut à tout prix échapper à Rikiki le canard et on sait enfin pourquoi les vaches ont des taches.
C'est très drôle, d'un humour potache un peu distancié. Les mimiques des personnages sont bien rendues. Les héros sont dessinés tout petits et tout mignons, et, malgré leurs goûts morbides, ils restent des enfants.
