Le nez d'Edward Trencom : Les aventures héroïques et byzantines d'un fromager londonien

« Il avait toujours su que le nez des Trencom possédait des pouvoirs surnaturels et il en avait maintenant la preuve. « (p. 138)

« Le parfum dominant était celui des cancoillottes. ‘Vous avez encore fait les coquines cette nuit.’, dit Edward, taquin, avec un petit rire entendu. Il agita le doigt vers la Franche-Comté. ‘Oh ! oui, je le sais. Allons, ne prétendez pas le contraire. Vous êtes allées courir le guilledou avec les morbiers.’ » (p. 110)

« Une odeur […] lui causait la plus délectable des sensations : une odeur de fromage. Ses narines frémissaient et picotaient de plaisir en la reconnaissant. » (p. 13)

« C’était une sphère parfaite, perchée sur une arête idéale. » (p. 81)

« C’est étrange, mais des accidents se produisent à presque toutes les générations. » (p. 31)