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Critique de CaroMleslivres
Eh voilà ! Je suis encore tombée dedans !!! Bernard Minier a ce don de nous faire accrocher au livre pour ne plus le lâcher jusqu'à la fin…
L'intrigue est très efficace. Les décors sont très bien décrits. On imagine sans peine Marsac, cette ville étudiante, écrasée par la chape de plomb de la chaleur orageuse du sud-ouest.
Si le lecteur a eu la chance de déjà lire « Glacé », il est vite replongé dans le duel sans merci entre le commandant Servaz et Hirtmann.
Les personnages secondaires sont eux aussi intéressants. La fille de Servaz devient attachante. J'ai un peu plus de réserve vis-à-vis d'Irène. Elle me fait quelque peu penser à une héroïne suédoise qui a fait le bonheur des millions de lecteurs dans une trilogie, mais un petit quelque chose en moins. J'ai cette référence en tête, surtout depuis ce second opus. Et je trouve cela dommage.
Les coups de griffe de l'auteur vis-à-vis des politiciens sont acérés. le cynisme du monde politique fait froid dans le dos et reflète malheureusement la réalité.
Quant à la coupe du monde de football… Ah la coupe du monde du foot !!! Les moqueries de l'auteur contre le monde footballistique et ses supporters font plutôt sourire et apportent de la légèreté au livre, surtout quand on sait comment tout ça s'est terminé…
La construction du roman est très maline. Les chapitres concernant la femme séquestrée laissent planer le doute. Peu à peu, on se pose des questions. Ne serait-ce pas …??? Non, pas possible !
Ce livre est assez addictif pour celui qui accroche à l'intrigue. J'en fais partie. Et je lirai avec plaisir la suite, si suite il y a…
L'intrigue est très efficace. Les décors sont très bien décrits. On imagine sans peine Marsac, cette ville étudiante, écrasée par la chape de plomb de la chaleur orageuse du sud-ouest.
Si le lecteur a eu la chance de déjà lire « Glacé », il est vite replongé dans le duel sans merci entre le commandant Servaz et Hirtmann.
Les personnages secondaires sont eux aussi intéressants. La fille de Servaz devient attachante. J'ai un peu plus de réserve vis-à-vis d'Irène. Elle me fait quelque peu penser à une héroïne suédoise qui a fait le bonheur des millions de lecteurs dans une trilogie, mais un petit quelque chose en moins. J'ai cette référence en tête, surtout depuis ce second opus. Et je trouve cela dommage.
Les coups de griffe de l'auteur vis-à-vis des politiciens sont acérés. le cynisme du monde politique fait froid dans le dos et reflète malheureusement la réalité.
Quant à la coupe du monde de football… Ah la coupe du monde du foot !!! Les moqueries de l'auteur contre le monde footballistique et ses supporters font plutôt sourire et apportent de la légèreté au livre, surtout quand on sait comment tout ça s'est terminé…
La construction du roman est très maline. Les chapitres concernant la femme séquestrée laissent planer le doute. Peu à peu, on se pose des questions. Ne serait-ce pas …??? Non, pas possible !
Ce livre est assez addictif pour celui qui accroche à l'intrigue. J'en fais partie. Et je lirai avec plaisir la suite, si suite il y a…
