Deux choses sont très claires pour moi en refermant le court texte, trois chapitres, consacré par Octave Mirbeau à la mort De Balzac. D'abord, il avait un fort joli style, et ensuite, il était terriblement, presque pathologiquement misogyne!
Il en reste un texte acéré dont la meilleure partie est la première, qui se lit vite et qui rappelle comme nous sommes peu de choses, génies y compris, à la dernière heure.
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