Qu'en termes élégants ces choses là sont dites!
Cependant le brio et la finesse de l'écriture et des sentiments n'empêchent pas le dérangement de lire ce qui ressemble à un compte rendu détaillé d'une très longue psychanalyse du patient Mishima porteur de multiples névroses...
Car si le moi est détestable dans les conversations, "Le moi est haïssable en littérature" (dixit
Gustave Flaubert)
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