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Critique de Lesvoyagesdely
Maïn est maintenant directrice de l'orphelinat, et c'est un bel exemple de voir comment elle agit, notamment en récompensant les gens selon leur mérite et en leur faisant comprendre que la participation sera récompensée.
Maïn souffre toujours d'être entre deux feux, du regard de l'autre, surtout des nobles qui ne la reconnaissent pas, pourtant elle se doit de ne pas surréagir, de ne pas être trop blessée par les mots, de ne pas défaillir et de répondre posément en y mettant les formes.
Ironiquement, certes elle tient toujours à ses livres, mais elle n'a pas forcément autant de temps qu'elle le voudrait pour cela. Elle est étroitement surveillée par certains, qui sont chargés de la rediriger si elle se perd. Elle est dans une situation difficile, et ne connaît pas les rouages de cette société.
Ce tome va être l'occasion d'en découvrir encore plus à ce sujet, surtout une certaine fête à base de taos. Maïn continue également à s'exercer à la prière, nous voyons aussi d'autres la faire, remercier, il y a quelque chose d'épique sur certains postures qui pourraient même faire rire le lecteur et de troublant dans l'ensemble.
Maïn continue à tracer sa route, les orphelins voient bien tout ce qu'elle fait pour eux, Delia regrette qu'elle n'ait pas été là plus tôt, du moins de ne pas avoir eu quelqu'un comme
elle, le trouble de ses sentiments est également bien rendu sur le sujet.
Pour chaque activité, ils essayent de trouver la bonne personne. Maïn fait des essais avec certains, et s'ils donnent satisfaction, elle les réemploiera, mais elle-même doit faire attention à ses propres limites.
Le bonus de fin, donc extrait de roman, se passe quand les orphelins vont chercher des taos dans la forêt.
La série est toujours aussi forte et bonne, le mélange d'émotions se fait bien ressentir et nous continuons à en apprendre plus sur ce monde.
Lien : https://lesvoyagesdely.wordp..
Maïn souffre toujours d'être entre deux feux, du regard de l'autre, surtout des nobles qui ne la reconnaissent pas, pourtant elle se doit de ne pas surréagir, de ne pas être trop blessée par les mots, de ne pas défaillir et de répondre posément en y mettant les formes.
Ironiquement, certes elle tient toujours à ses livres, mais elle n'a pas forcément autant de temps qu'elle le voudrait pour cela. Elle est étroitement surveillée par certains, qui sont chargés de la rediriger si elle se perd. Elle est dans une situation difficile, et ne connaît pas les rouages de cette société.
Ce tome va être l'occasion d'en découvrir encore plus à ce sujet, surtout une certaine fête à base de taos. Maïn continue également à s'exercer à la prière, nous voyons aussi d'autres la faire, remercier, il y a quelque chose d'épique sur certains postures qui pourraient même faire rire le lecteur et de troublant dans l'ensemble.
Maïn continue à tracer sa route, les orphelins voient bien tout ce qu'elle fait pour eux, Delia regrette qu'elle n'ait pas été là plus tôt, du moins de ne pas avoir eu quelqu'un comme
elle, le trouble de ses sentiments est également bien rendu sur le sujet.
Pour chaque activité, ils essayent de trouver la bonne personne. Maïn fait des essais avec certains, et s'ils donnent satisfaction, elle les réemploiera, mais elle-même doit faire attention à ses propres limites.
Le bonus de fin, donc extrait de roman, se passe quand les orphelins vont chercher des taos dans la forêt.
La série est toujours aussi forte et bonne, le mélange d'émotions se fait bien ressentir et nous continuons à en apprendre plus sur ce monde.
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