C'est magnifique de voir que ce livre pour grands enfants à ranger à côté des souvenirs d'enfance de Ion Creangă inspire tous ces commentaires. J'insiste pour ma part sur le fait que le rôle de la mère qui accomplissait des miracles pour l'enfant innocent (au sens premier) est tenu ici par les yokaï, et la vieillarde initiatrice, qui raconte ces esprits. L'image du père aussi est des plus attachantes : "ta douleur et ton dépit d'aujourd'hui se changeront petit à petit en force, tu verras. Bon, j'étais surtout venu te dire de prendre ton bain." (page 392)
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