Une simple lettre d'amour confirme l'image que j'ai de
Yann Moix en regardant ONPC de
Laurent Ruquier : il maîtrise parfaitement et joliment la forme de notre langue française.
Forcément, quand je précise "la forme", c'est qu'en général, mon opinion sur le fond diffère.
Effectivement, cette lettre de "rupture" d'un jeune homme de vingt-sept ans révèle sa nature déplaisante de pervers narcissique (terme à la mode que je nomme plus communément "tordu"). Plus on avance dans cette lettre et plus le discours de ce jeune homme tourne autour du sexe, comme s'il se sentait obligé de justifier ce bas instinct qu'est son appétit sexuel.
Le dernier chapitre a beau donner une explication sur sa personnalité peu recommandable, elle n'excuse rien.
Décevant donc. Je ne suis pas sûre de relire du
Yann Moix...
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