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Critique de tristantristan


Après Lars Kepler et son écriture à quatre mains, avec Carmen Mola on monte en puissance: c'est du six mains!
On dirait une recette de cuisine: des petits chapitres dont chacun pourrait générer un livre entier, une écriture simple et accessible, des personnages présentés à minima sans investissement psychologique, tous différents et qui couchent ensemble à l'occasion (mais sans sentiments sauf pour Blanco et Zarate), des meurtres plus ou moins horribles, une corruption à tous les étages, etc... J'imagine la tête de la ménagère de moins de cinquante ans qui avale les chapitres dans l'autobus en se disant : "Mon Dieu, il y a des gens comme ça!" le tout est essentiellement invraisemblable mais se laisse lire facilement et plaira beaucoup aux inconditionnels du genre. N'en déplaise à Madame Dolores Redondo, la "literatura negra" (la littérature policière" ) même de qualité n'est en rien comparable avec l'autre. Elle ne joue pas dans la même cour, n'est pas pour le même public, n'utilise pas les mêmes ressorts d'écriture.
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