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Critique de lecassin


Il me semble l'avoir déjà dit ici, je n'aime pas relire… particulièrement un livre que j'ai aimé ; peur de ne pas retrouver la magie de la première lecture, peut-être … Il m'arrive néanmoins de faire exception à la règle.
Bien m'en a pris : « le bourgeois gentilhomme », une lecture imposée au collège qui ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable si ce n'est celui du ridicule ; et je passe les couvertures hideuses de l'époque des classiques Larousse et autres éditions…

Quelques années plus tard, voilà mon aînée au collège, et me revoilà confronté au « problème ». Certes les couvertures des classiques ont évolué vers le moins repoussant, mais bon… Reste le texte : une révélation et relecture, à l'âge adulte. Un régal qui me fera enchaîner sur « le malade imaginaire », « le Tartuffe » (mon préféré), « Dom Juan », « L'avare »…
Je n'ai pas encore relu « Les fourberies de Scapin », dont le souvenir m'est tellement pénible que la relecture ne m'est toujours pas possible.

Comment ai-je fait à l'époque pour passer à côté de répliques telles que :
« Il y a plus de quarante ans que je dis de la prose sans que j'en susse rien. »
« Ah! La belle chose que de savoir quelque chose ! »
Il y a un temps pour tout, en général… et pour Molière en particulier. Une lecture que je ne conseillerais pas à l'adolescence. Mais ceci n'engage que moi et correspond à ma propre expérience.

Nota : l'oeuvre est tellement connue, que je n'aurai pas l'outrecuidance de la présenter ici, alors que d'autres l'ont si admirablement fait.
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