Un livre qui me suit. Pas un livre de chevet mais un qui reste là quand le masque sociétal ne doit pas tomber, quand je n'ai pas envie "d'estimer tout le monde" mais que je me dois de "rendre quelques dehors civils que l'usage demande".
Observer les travers des hommes et en rire. Pourtant, il n'y a point de place pour le rire dans cette pièce. Alceste est écorché, Philinte policé, et Célimène parade et mène son monde comme elle l'entend.
Molière a peut-être dressé le portrait d'un homme ? Ou a t'il voulu nous mettre en garde contre l'excessivité ?
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