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Critique de moravia


Je viens d'avoir une idée pour distinguer dans ma bibliothèque (celle de Babelio) les livres qui m'ont laissé un sale souvenir. Je vais leur mettre une étiquette : Goulag. Vous savez cet endroit où personne ne souhaite aller tant il est synonyme de souffrance.
Ce livre à réchappé à ce signe d'infamie uniquement grâce au nombre peu élevé de ses pages.
La souffrance à été de courte durée.
Ce n'est pas comme avec les romans d'Han Suyin pour lesquels je n'aurais pas davantage souffert si j'avais dû abattre tous les arbres de la Taïga ou compter les grains de sable de la mer Baltique.
L'autre jour une amie m'a dit : - tu peux faire une critiques d'un livre que tu as lu il y a 20 ans. Les souvenirs en seront meilleurs !
Sans doute quand on a une mémoire d'éléphant....parce que pour celui ci je ne me souviens même plus pourquoi je l'ai ouvert ! C'était le début de ma période italienne avec les Cassola, Moravia et Buzzati. Alors forcement Montanelli m'a attiré. Il n'y avait pas Google pour m' éclairer sur l'auteur.
Nous vivions encore dans les ténèbres.
Et c'est ainsi que j'ai lu ce livre sans enthousiasme ( j'étais encore assez idiot pour lire un livre jusqu'au bout), sans bien saisir le but de l'auteur et je me suis juré de ne plus jamais ouvrir un livre de Montanelli et vous feriez bien d'en faire autant.
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