📚 Ce second tome est dédié à un personnage secondaire du Tatoueur d'Auschwitz: Cilka.
📚 On y retrace sa vie avant, pendant et son après Auschwitz. Elle est condamnée à 15 ans de goulag pour avoir collaborée avec l'ennemi (les nazis). Son crime ? Y avoir été violée à maintes reprises.
🧊 Autant j'avoue avoir versé ma larme avec la Tatoueur, autant, la j'avoue ne pas avoir été émue. Et pourtant la vie de tous ces prisonniers envoyés au goulag en Sibérie étaient d'une dureté extrême à vous briser le coeur.
🧊 Mais, personnellement, l'écriture m'a laissée stoïque. J'avais l'impression de relire le tatoueur version russe et féminine. Autant, avec Lale, j'étais dans la pure émotion et je suis passée outre les facilités. Mais la, ça recommence.
⚠ spoil (juste ce chapitre)
Cilka devient une protégée d'un homme (même si elle ne l'a pas choisi), et par des facilités passe dès les premiers jours d'un travail harassant à un travail au chaud et privilégié.
Et on continue avec la même histoire que Lale, elle a accès à de la nourriture supplémentaire qu'elle partage avec ses amies de son bloc. Et comme Lale, elle aide, par ses connaissances, ses amies dans le besoin.
Comme Lale, elle tombe éperdument amoureuse d'un homme.
Comme lui, elle l'épousera, comme lui ça sera l'amour passionné de sa vie.
Comme lui, leur retrouvailles après le goulag, se fera de façon trop facile.
🧊 Et tout au long du livre, on découvre une Cilka absolument parfaite, qui aide tout le monde et qui sauve un grand nombre. Ça en devient trop.
🧊 Trop de facilités, trop de bonnes actions totalement dépourvues d'égoïsme, trop de bonnes rencontres, trop de similitudes avec le premier tome etc etc qui font que je ai pas pu y croire.
😥Le pire c'est qu'en écrivant ces mots, j'ai l'impression d'être un monstre sans coeur. Mais non, promis, ce n'est pas le cas. C'est juste que la trame de livre est trop calquée sur celle du Tatoueur, et que cette pauvre Cilka est juste trop parfaite. On a tous des défauts sauf elle. Et c'est tout ces trop et ces similitudes qui ont fait que je ne suis pas rentrée dans l'émotion (à mon plus grand regret).
Commenter  J’apprécie         80