eh bien, je crois que le bonheur n’est pas un état constant.Il va et vient et nous éclabousse parfois de petits éclats précieux qu’il faut reconnaître pour en jouir, sinon ils ne reviendront plus.
C’est que , entre les deux femmes , la tension est désormais constante. Gabrielle prenant toujours plus d’aplomb en raison de la confiance que lui accorde le patron. Ce qui dérange la maîtresse de maison aigrie par son embonpoint…..