>
Critique de EricBeauvillain
Je ne sais pas trop quoi penser de ce livre…
Il est intelligent et complexe, se penchant sur divers sujets, la vidéo-surveillance et l'art, l'amour ou l'engagement politique en passant par l'informateur mystérieux…
A la fois, chaque point est pertinemment développé, à la fois, ça en fait beaucoup à suivre dans un livre pas si long que ça…
Ce qui fait que, parfois, on a droit à une ou deux pages qui nous détaille ce qu'est l'Art, comment est composé un partie, la façon dont fonctionne cette société, un petit pavé dense et très bien réfléchi, mais hyper bourratif, qui tombe entre deux actions fluides… Bien mais ardu…
Et puis c'est sympa toutes ces idées farfelues mais si l'auteur les a en lui depuis un bout de temps, on n'a que quelques pages pour assimiler une société avec 50 groupes, un art simpliste et figuratif qui dépasse, les relations politiques entre chacun…
C'est possible, je l'ai fait, j'ai trouvé qu'il y avait plein de bonnes idées mais, voire, presque, trop de bonnes idées qui vont super vite. J'ai l'impression, quelques jours après la lecture, de m'être pris un ovni dans la figure ; faut s'en remettre et prendre le temps de digérer…
Et, peut-être que, moins dense (quel besoin de mélanger le Sous-Commandant ou « l'ex de la femme qui s'éprend de la fille qui vit chez le mec » ou « la fille qui parle pas » à tout ça, ça rend la cerise sur la chantilly un peu indigeste), j'aurais mieux profité immédiatement…
Il est intelligent et complexe, se penchant sur divers sujets, la vidéo-surveillance et l'art, l'amour ou l'engagement politique en passant par l'informateur mystérieux…
A la fois, chaque point est pertinemment développé, à la fois, ça en fait beaucoup à suivre dans un livre pas si long que ça…
Ce qui fait que, parfois, on a droit à une ou deux pages qui nous détaille ce qu'est l'Art, comment est composé un partie, la façon dont fonctionne cette société, un petit pavé dense et très bien réfléchi, mais hyper bourratif, qui tombe entre deux actions fluides… Bien mais ardu…
Et puis c'est sympa toutes ces idées farfelues mais si l'auteur les a en lui depuis un bout de temps, on n'a que quelques pages pour assimiler une société avec 50 groupes, un art simpliste et figuratif qui dépasse, les relations politiques entre chacun…
C'est possible, je l'ai fait, j'ai trouvé qu'il y avait plein de bonnes idées mais, voire, presque, trop de bonnes idées qui vont super vite. J'ai l'impression, quelques jours après la lecture, de m'être pris un ovni dans la figure ; faut s'en remettre et prendre le temps de digérer…
Et, peut-être que, moins dense (quel besoin de mélanger le Sous-Commandant ou « l'ex de la femme qui s'éprend de la fille qui vit chez le mec » ou « la fille qui parle pas » à tout ça, ça rend la cerise sur la chantilly un peu indigeste), j'aurais mieux profité immédiatement…
