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Critique de Laerte
Il y a longtemps que je voulais lire ce premier roman d'Aruki Murakami. Je n'ai pas été déçu, quoique l'histoire soit pour le moins décousue et se termine d'une façon étrange ; pour redémarrer d'ailleurs avec Flipper 73 où l'on retrouve deux personnages d'Ecoute le chant du vent : le Rat et J.
Ceux-ci n'ont que peu de rapport avec les intrigues principales mais ils sont là et on fait avec.
En un mot, c'est du Murakami ! Ce qui veut dire que c'est déroutant, perturbant mais très attachant et ça donne envie d'aller au Japon pour voir si les habitants de l'archipel sont vraiment tels qu'ils sont décrits par l'auteur.
Ceux-ci n'ont que peu de rapport avec les intrigues principales mais ils sont là et on fait avec.
En un mot, c'est du Murakami ! Ce qui veut dire que c'est déroutant, perturbant mais très attachant et ça donne envie d'aller au Japon pour voir si les habitants de l'archipel sont vraiment tels qu'ils sont décrits par l'auteur.
