L'adjudant Guarnaccia est appelé à la villa Torrini par une propriétaire qui n'arrive pas à joindre sa locataire et amie Celia.
C'est toujours aussi mou. Il n'y a aucun rythme dans la construction de ce roman.
Le personnage principal vit dans son monde mais l'auteure ne nous permet pas de rentrer dedans.
C'est le même début que dans "
Mort d'un orfèvre". La vieille voisine appelle les carabiniers parce qu'il y a un problème avec le voisin qu'elle adore.
Le dénouement arrive comme ça. Pas d'indice. L'enquêteur pense à une solution et découvre la vérité.
Déception.
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