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L'adjudant Guarnaccia est appelé à la villa Torrini par une propriétaire qui n'arrive pas à joindre sa locataire et amie Celia.
C'est toujours aussi mou. Il n'y a aucun rythme dans la construction de ce roman.
Le personnage principal vit dans son monde mais l'auteure ne nous permet pas de rentrer dedans.
C'est le même début que dans "Mort d'un orfèvre". La vieille voisine appelle les carabiniers parce qu'il y a un problème avec le voisin qu'elle adore.
Le dénouement arrive comme ça. Pas d'indice. L'enquêteur pense à une solution et découvre la vérité.
Déception.
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Appelé par une vieille dame inquiète, Guarnaccia découvre un cadavre de femme dans la baignoire. le mari gît ivre dans la pièce à côté. Suicide ? Meurtre ? Que s'est-il passé entre Celia Forbes et son mari ? Cette mort est d'autant plus difficile à élucider que l'autopsie ne révèle pas vraiment la cause du décès. Et Guarnaccia est perturbé par le substitut du procureur Fusarri, qui a la charge de l'affaire, ainsi que par le régime imposé par sa femme pour son bien. 

La trame policière est quand même un peu mince dans cet opus, mais le volume est plus drôle que les précédents, l'opposition entre Fusarri et Guarnaccia donne des épisodes vraiment amusants, ainsi d'ailleurs que deux vieilles dames voisines de la défunte. Sans oublier le régime de l'adjudant. Un volume plaisant.
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Au départ, ce livre avait tout pour me plaire : un meurtre, Florence, une enquête pas simple à résoudre... oui, il y a tout ça dans ce roman, cependant, malheureusement, je suis vraiment restée sur ma faim (pas comme l'adjudant Guarnaccia qui cède régulièrement à des crises de boulimie).
Prenons d'abord ce meurtre, j'ai rarement lu une mise en place aussi lente et confuse. Nous faisons la rencontre de Georgia Torrini qui avertit la police sans preuve bien réelle du drame qui a pu se dérouler. Passé ce moment assez déstabilisant par sa mollesse, nous voici enfin sur la scène du crime, avec un mari que tout désigne comme étant le coupable idéal.
Ensuite ? Entre un procès auquel Guarnaccia doit témoigner, qui réveille de vieux souvenirs chez lui et auquel j'ai eu bien du mal à m'intéresser, une intrigue qui avance péniblement avec un adjudant qui ne partage aucune idée réellement et qui a l'air de suivre l'enquête de loin... je n'ai pas vraiment trouvé d'intérêt à cette histoire.
Pourquoi ai-je continué ? Je voulais comprendre comment la victime était morte et ce qui avait conduit à son assassinat. Comble de l'ironie, je n'ai absolument rien compris au dénouement de l'histoire sur le décès de Celia Forbes car cela m'a semblé en contradiction avec les conclusions du légiste. de plus, les personnages ne m'ont pas convaincu dans leurs attitudes. Une chose est sûre, c'est une lecture frustrante mais pas marquante du tout en ce qui me concerne.

Pourquoi lire Meurtre à la villa Torrini ?

Pour ma part, je ne recommande pas ce livre, qui d'ailleurs ne semble pas être le meilleur de l'auteure. Si un jour le gentleman florentin croise ma route, je le lirai mais je n'en fais pas une priorité.
Lien : http://racontemoilalecture.o..
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L'adjudant Guarnaccia se rend à la villa Torrini après un appel de sa riche et distinguée propriétaire : Eugenia Torrini est sans nouvelles de sa voisine avec qui elle avait rendez-vous, l'écrivain Celia Carter qui occupe avec son époux la grange aménagée se trouvant sur la propriété. Lorsque la police pénètre dans le logement de cette dernière, elle découvre la jeune femme sans vie dans sa baignoire et son époux ivre mort dans la chambre. Quelles sont les causes du décès de cette auteure réputée ? Après avoir éliminé la noyade, le suicide médicamenteux, la crise cardiaque, le médecin légiste ne peut donner d'explication. Les circonstances mêmes de la mort de Celia Carter sont difficiles à cerner car son mari, le très égocentrique Julian Forbes, se montre peu loquace.
Dans une Florence glacée par le souffle de la tramontane, le carabinier sicilien Guarnaccia est très embarrassé, non seulement il ne dispose d'aucune piste pour faire avancer son enquête, mais le régime qu'il s'impose l'empêche de réfléchir correctement. Certes, Julian Forbes a tout du coupable, cependant il n'avait pas de réel mobile pour tuer une femme qui lui fournissait ses moyens d'existence, supportait son égoïsme forcené et ne semblait pas s'offusquer de ses tentatives de séduction auprès des femmes de son entourage. L'arrivée de Jenny, la fille de Celia, n'éclaire pas davantage l'affaire. La jeune fille qui poursuit ses études à Londres n'est guère bavarde, se montre fuyante et assez perturbée, sans manifester beaucoup de chagrin devant la disparition de sa mère.
Magdalen Nabb installe très lentement son intrigue. Les principaux personnages ne disent quasiment rien, Guarnaccia, Julian Forbes, Jenny Carter. Les personnages secondaires parlent pour ne rien dire : la signora Eugenia Torrini, la vieille Elizabeth Müller ou encore le substitut Fussari. Sur l'histoire se greffe les audiences d'une affaire criminelle qu'a suivie l'adjudant et qui révèle la misère sociale d'une famille disloquée. Par ailleurs, le carabinier est tourmenté par des souvenirs d'enfance qui concernent l'un de ses camarades de classe, Vittorio, enfant pauvre et souffre-douleur de l'institutrice.
J'avoue avoir trouvé bien peu d'intérêt à ce roman où les principaux protagonistes ne soulèvent ni compassion, ni empathie, ni véritable curiosité. L'intrigue poussive piétine au rythme du pachydermique Guarnaccia aussi lent qu'un brise-glace pris dans la banquise.
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A Florence, l'adjudant Guarnaccia, corpulent, gastronome, effacé, lugubre et complexé, mène ses enquêtes à sa manière, avec calme et obstination.
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Une jolie surprise !
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