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Critique de florencem
Je suis un peu rassurée après la fin de ma lecture de ce tome 1. J'ai été très déçue par la série Berry Dynamite de Aya Nakahara, et j'avais peur que Courage Nako soit aussi une déception. Mais il n'en est rien. J'ai vraiment accroché à ce premier tome et j'ai hâte de poursuivre la série (qui ne compte que trois tomes au total mais je pense que c'est bien suffisant). Là encore, Courage Nako est un shojo classique. On y retrouve tous les codes spécifiques à ce genre, mais avec une petite touche d'humour. Un élément qui plait beaucoup à l'auteur au vu de ses autres séries. Et ce n'est pas pour me déplaire. J'ai beaucoup aimé voir Nako et Konatsu se disputer tout au long du tome. Oui, je sais, c'est un peu bizarre, mais pour l'instant ces deux-là ne parviennent à communiquer que comme cela. Et je ne pense pas me tromper en disant qu'ils finiront tous les deux par tomber amoureux l'un de l'autre, donc j'ai hâte de voir comment cela va évoluer.
Les personnages sont très attachants dès le départ. Que ce soit Konatsu, Nako et toute sa famille, Peg et Shun, ils ont chacun ce petit grain de folie qui les rend très sympathique sans faire beaucoup d'efforts. Et personnellement, j'accroche tout de suite à ce genre de personnages. Ils me font rire tout en aillant une part de sensibilité qui les leur donne une touche de réalisme. Sans compter le fait que les situations qu'ils rencontrent sont assez loufoques. Et pourtant, Aya Nakahara sait quand même mettre en avant une partie plus sérieuse, plus dramatique à tout cela. Parce qu'au fond, très souvent, le rire cache un malaise. La solitude de Konatsu par exemple. On l'effleure à peine dans ce tome, mais elle est bien présente, et entre les disputes qu'il ne cesse d'avoir avec Nako, on se rend compte petit à petit que l'adolescent est malheureux. Nako, elle, est tellement pleine de vie qu'on se demande comment la jeune femme fait pour tenir le coup à la fin de la journée. Son courage et sa témérité sont très rafraichissants, même si au fond, on a l'impression qu'elle vit plus pour les autres que pour elle-même.
Et c'est cela que j'aime dans ce genre de manga. Lorsque deux protagonistes se rencontrent, qu'ils sont diamétralement opposés, mais qui au fond vont pouvoir s'aider mutuellement, sans s'en rendre compte, très souvent, mais toujours avec sincérité.
Les personnages sont très attachants dès le départ. Que ce soit Konatsu, Nako et toute sa famille, Peg et Shun, ils ont chacun ce petit grain de folie qui les rend très sympathique sans faire beaucoup d'efforts. Et personnellement, j'accroche tout de suite à ce genre de personnages. Ils me font rire tout en aillant une part de sensibilité qui les leur donne une touche de réalisme. Sans compter le fait que les situations qu'ils rencontrent sont assez loufoques. Et pourtant, Aya Nakahara sait quand même mettre en avant une partie plus sérieuse, plus dramatique à tout cela. Parce qu'au fond, très souvent, le rire cache un malaise. La solitude de Konatsu par exemple. On l'effleure à peine dans ce tome, mais elle est bien présente, et entre les disputes qu'il ne cesse d'avoir avec Nako, on se rend compte petit à petit que l'adolescent est malheureux. Nako, elle, est tellement pleine de vie qu'on se demande comment la jeune femme fait pour tenir le coup à la fin de la journée. Son courage et sa témérité sont très rafraichissants, même si au fond, on a l'impression qu'elle vit plus pour les autres que pour elle-même.
Et c'est cela que j'aime dans ce genre de manga. Lorsque deux protagonistes se rencontrent, qu'ils sont diamétralement opposés, mais qui au fond vont pouvoir s'aider mutuellement, sans s'en rendre compte, très souvent, mais toujours avec sincérité.
