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Critique de iris29
Lors de la dernière Masse Critique, je fus attirée par cette superbe couverture que j'imaginais être extraite d'un tableau. ( En fait , il s'agit d'une photo). J' étais en train de lire un roman de Thomas Hardy qui se déroulait dans la campagne anglaise, et j'imaginais retrouver cette ambiance dans Les Fortunes du coeur. Il n'en a rien été.
Si l'histoire commence dans la campagne , elle s'en éloigne complètement et rapidement.
Sarah Jane ,( 13 ans ) ,perd ses parents fermiers et se retrouve dans un hospice (orphelinat ) avec son frère. Là, ils sont séparés , car à l'époque on ne mélangeait pas les filles et les garçons... Très vite, il apparaît à la lectrice, que Sarah Jane est animée par une volonté farouche de s'en sortir et ça commence par apprendre à lire et à écrire...
Mais Sarah Jane est très belle, et le beau- frère du directeur de l'orphelinat ( 39 ans) , malgré la différence d'âge lui proposera un marché : des leçons contre un paiement en nature... Sarah Jane ne se révoltera pas et prendra les choses avec philosophie et naïveté...
L'année de ses seize ans, elle est engagée comme domestique chez les nobles de la région , mais très vite sa beauté lui amènera des ennuis, et elle trouvera refuge chez des ouvriers des chemins de fer, itinérants...
On suivra le parcours de Sarah Jane , son ascension sociale sur quelques années.
Je n'y ai pas été sensible à cause du ton employé par l'auteure... on est à la limite du Harlequin...
La pauvre petite fille orpheline, séparée du seul membre de sa famille, , teeeeellement belle que tous les hommes la convoitent, qui a été éveillée à la sexualité en toute innocence (mais qui maîtrise son sujet ! )et qui va réussir à franchir tous les obstacles inhérents à son sexe, et à son milieu d'origine et devenir riche ...
Vous rajoutez à ça des phrases "cul-cul la praline ", ( du genre :
"- Ne lutte pas, Sarah Jane, parce que c'est écrit dans les étoles, aussi sûr que la nuit succède au jour. Elle frémissait d' excitation et de passion, de peur de se perdre dans la volonté d'un autre, de joie et de désespoir.").
Le style m'a énervée tout au long de ma lecture, et si cela n'avait pas été une masse critique, j'aurais abandonné avant la fin.
Cette dernière a été la goutte d'eau qui fait déborder le vase ! Elle m'a laissée perplexe et agacée,je l'ai trouvée "tordue" sur le plan psychanalytique ... de tous les hommes sur la terre , pourquoi a-t-il fallu qu'elle choisisse celui qui avait un lien de sang avec un de ses précédents amants ...
Je n'aime pas les romances, ni les sagas, je trouve ça kitch.
Pour moi, cela a été une mauvaise pioche, je remercie néanmoins les Editions Archipoche et Babelio pour cette Masse critique, je n'avais qu' à mieux cibler ... .
Mais si vous aimez les belles jeunes filles qui traversent leur siècle et les ennuis avec courage, et panache , "dans un grand vent de passion " , alors ce roman vous ravira.
Si l'histoire commence dans la campagne , elle s'en éloigne complètement et rapidement.
Sarah Jane ,( 13 ans ) ,perd ses parents fermiers et se retrouve dans un hospice (orphelinat ) avec son frère. Là, ils sont séparés , car à l'époque on ne mélangeait pas les filles et les garçons... Très vite, il apparaît à la lectrice, que Sarah Jane est animée par une volonté farouche de s'en sortir et ça commence par apprendre à lire et à écrire...
Mais Sarah Jane est très belle, et le beau- frère du directeur de l'orphelinat ( 39 ans) , malgré la différence d'âge lui proposera un marché : des leçons contre un paiement en nature... Sarah Jane ne se révoltera pas et prendra les choses avec philosophie et naïveté...
L'année de ses seize ans, elle est engagée comme domestique chez les nobles de la région , mais très vite sa beauté lui amènera des ennuis, et elle trouvera refuge chez des ouvriers des chemins de fer, itinérants...
On suivra le parcours de Sarah Jane , son ascension sociale sur quelques années.
Je n'y ai pas été sensible à cause du ton employé par l'auteure... on est à la limite du Harlequin...
La pauvre petite fille orpheline, séparée du seul membre de sa famille, , teeeeellement belle que tous les hommes la convoitent, qui a été éveillée à la sexualité en toute innocence (mais qui maîtrise son sujet ! )et qui va réussir à franchir tous les obstacles inhérents à son sexe, et à son milieu d'origine et devenir riche ...
Vous rajoutez à ça des phrases "cul-cul la praline ", ( du genre :
"- Ne lutte pas, Sarah Jane, parce que c'est écrit dans les étoles, aussi sûr que la nuit succède au jour. Elle frémissait d' excitation et de passion, de peur de se perdre dans la volonté d'un autre, de joie et de désespoir.").
Le style m'a énervée tout au long de ma lecture, et si cela n'avait pas été une masse critique, j'aurais abandonné avant la fin.
Cette dernière a été la goutte d'eau qui fait déborder le vase ! Elle m'a laissée perplexe et agacée,je l'ai trouvée "tordue" sur le plan psychanalytique ... de tous les hommes sur la terre , pourquoi a-t-il fallu qu'elle choisisse celui qui avait un lien de sang avec un de ses précédents amants ...
Je n'aime pas les romances, ni les sagas, je trouve ça kitch.
Pour moi, cela a été une mauvaise pioche, je remercie néanmoins les Editions Archipoche et Babelio pour cette Masse critique, je n'avais qu' à mieux cibler ... .
Mais si vous aimez les belles jeunes filles qui traversent leur siècle et les ennuis avec courage, et panache , "dans un grand vent de passion " , alors ce roman vous ravira.
