Nicolin raconte ses années comme "petite main" (cela vaut mieux que "petit sexe") dans l'industrie du X. D'assistant en stagiaire, puis en cinéaste, il passe à la moulinette les clichés et autres lieux communs. Toujours avec humour et avec une grosse touche de sexe, bien évidemment.
Nicolin a énormément d'autodérision. Il finit en rapportant un échange avec son éditeur où celui-ci lui signale qu'il dessine mieux les "nichons" que les mains... On n'est clairement pas dans le dessin réaliste, et cela vaut mieux pour ce genre de BD. On est proche d'un
Reiser, avec plus de sensualité. On est dans le ton de
Fluide Glacial, à donf.
Oserais-je dire qu'on a une BD jouissive... ah ah ah ah...
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