En déambulant dans les rayons de ma médiathèque je trouve «
Obia ». J'ai découvert
Colin Niel en lisant «
Seules les bêtes » et apprécié cette lecture. le sticker « Prix des lecteurs Quai du polar 2016 » m'a convaincu de l'emprunter.
J'ai peiné dans la première partie du roman, trop de longueur qui fait que l'histoire a du mal à se mettre en place. J'avais l'impression d'être moi aussi accablé par la chaleur guyanaise et de me trainer dans cette enquête aux nombreux personnages. J'ai commencé à lire des pages en diagonale pour avancer plus vite.
A un moment, je suis sorti de ma torpeur. Les rebondissements bien sentis du roman m'ont encouragé à poursuivre ma lecture pour connaitre la fin des recherches criminelles et personnelles d'André Anato.
Les descriptions de ce département français sont vraiment enrichissantes, cela m'a permis d'apprendre l'histoire difficile de la Guyane et de ses habitants.
Livre instructif et très bien écrit. La lecture aurait été plus agréable sans les longueurs du début.
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