Glauque et malsain, il y a de ça aussi. de la confusion et du mystère mais pas de clé à la fin. Tout dans la frustration !
J'ai trouvé que les thématiques graphiques et scénaristiques oscillaient entre Alien et Résident Evil mais avec un décalage, une dérive dans la fusion et le mélange onirique. Un "poème graphique décadent", voilà les mots qui me sont venus à l'esprit pendant ce second tome. Les corps effilés, étirés jusqu'à la démesure dans leur fourreau noir, m'ont fait pensé à des graphistes de la fin du XIXeme siècle comme
Aubrey Beardsley...
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