En littérature il y a des grosses claques,
le roman d'un être en est une, à la fois par la rencontre avec le personnage dont il est question ici, le peintre
Roman Opalka, et par la rencontre avec l'écriture de
Bernard Noël.
Roman Opalka est né en 1931. Dès 1965, il a choisi une direction pour son oeuvre qu'il conservera jusqu'à sa mort. Il peint sur des toiles de plus en plus blanches, au format immuable, la suite des nombres, en partant du 1 primordial, puis 2, puis 3… En parallèle il se photographie, chaque jour, vêtu de la même chemise et sous une lumière identique.
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