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Critique de umezzu


A la fin des années 1990, Pocket a publié une série de roman policiers attachés à un lieu symbolique : « Meurtre à... » (compléter par l'Elysée, Cannes, Trifouilli les oies…).
Cet opus est bien entendu lié au monde de la finance, de l'argent facile, des magouilles au sein des sociétés de bourse. le meilleur copain du héros était l'un de ces petits génies de la finance grassement payés qui réussissent tout, même à se suicider à vingt neuf ans. Évidemment l'ami n'en croit pas un mot. On n'a pas le droit de suicider quand on jeune et riche…
L'intrigue peut sembler simple, mais ce petit polar était un bon moment de détente. Aujourd'hui tout l'univers qu'il décrivait doit être complètement dépassé.
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