Barbe bleue peut peut-être paraître bon si l'on n'est pas familier des romans de Nothomb. Je ne vois en effet pas comment on pourrait encore le trouver plaisant ou même surprenant si l'on a coutume de lire ses romans annuels. J'ai lu ça et là que ce qui plait le plus aux lecteurs sont les échanges musclés entre Saturnine et Don Elemirio. S'il faut bien reconnaître que la romancière est douée pour les conversations aussi vives qu'une partie de ping-pong endiablée, il faut tout de fois noter que celles-ci n'ont plus le goût de ce à quoi nous avions droit dans
Hygiène de l'assassin ou
Peplum. C'est du déjà vu ! Tout comme la fin, terriblement prévisible. Hélas ! Ce n'était donc pas encore le grand retour d'
Amélie Nothomb ...
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