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Critique de Bibeli
Qui est donc ce jeune homme qu'on appelle J-Boy et qui est intégré au sein d'une prison sur une île de Taïwan ? Et pourquoi intéresse-t-il autant M.Ô Shibun, dirigeant d'une mafia asiatique redoutable et redoutée nommée Chinpang ? le bruit court que J-Boy serait un robot appartenant à cette organisation. J-Boy devra mettre toute son énergie dans l'apprentissage du billard, jeu qu'il va s'avérer déterminant de maîtriser afin de conforter la mafia dans son rôle.
Il existe encore pas mal de zones d'ombre dans cette histoire, notamment sur la nature exacte de J-Boy, son passé et celui d'Ô Shibun, mais aussi sur la place importante d'une certaine femme.
L'intrigue a le mérite d'être rigoureuse, parfois cruelle (sans effusions de sang heureusement) et souvent teintée de mystère. Les dessins sont précis et jouent avec les différentes nuances de gris. Les visages des personnages sont mis en pleine lumière, dévoilant par-ci par-là une lueur de fascination ou de détermination. Dans ce monde sans pitié, on est curieux de savoir comment J-Boy va s'en sortir et quel va être son rôle exactement. La série est terminée en 6 tomes.
Il existe encore pas mal de zones d'ombre dans cette histoire, notamment sur la nature exacte de J-Boy, son passé et celui d'Ô Shibun, mais aussi sur la place importante d'une certaine femme.
L'intrigue a le mérite d'être rigoureuse, parfois cruelle (sans effusions de sang heureusement) et souvent teintée de mystère. Les dessins sont précis et jouent avec les différentes nuances de gris. Les visages des personnages sont mis en pleine lumière, dévoilant par-ci par-là une lueur de fascination ou de détermination. Dans ce monde sans pitié, on est curieux de savoir comment J-Boy va s'en sortir et quel va être son rôle exactement. La série est terminée en 6 tomes.
